Interprétationonirique n° 4 du mot président pour le rêve président Voir le président ou lui parler : Méfiance envers les nouvelles relations que vous entretenez Effectuez une nouvelle recherche pour trouver la signification de votre rêve !
Au tout début de son premier mandat, le président de la République Emmanuel Macron rompait avec la tradition de l’interview du 14 juillet. L’explication donnée alors par l’Élysée était que la pensée complexe du président se prêterait mal à l’exercice ». Exercice de parler simplement avec les médias – et donc avec le peuple français puisque l’entretien a une vocation publique. En ce début de deuxième mandat, le président réélu affirme que le résultat des présidentielles, qui a vu la candidate du Rassemblement national obtenir 42 % des voix et l’abstention atteindre son plus haut niveau depuis 50 ans, l’ oblige ». Il l’oblige sur le fond du respect des différences qui se sont exprimées ces dernières semaines ». Sur le fond du silence » de celles et ceux qui n’ ont pas voulu choisir ». Sur le fond de celles et ceux qui ont voté pour Madame Le Pen ». Sur cela, Macron précise que la colère et les désaccords de ceux qui ont voté pour ce projet celui du Rassemblement national doivent aussi trouver une réponse ». Emmanuel Macron veut décidément œuvrer à cette unité par laquelle seule, nous pourrons être plus heureux en France ». Le ton est ici autrement différent de ce qu’il a été en juin et juillet 2017. Si l’on en croit notre président, il serait désormais décidé à considérer celles et ceux qui ne lui ont pas fait confiance. Si donc le quinquennat qui vient est appelé à être celui de l’invention collective d’une méthode refondée … au service de notre pays, de notre jeunesse » qui a peu voté pour lui mais au milieu de laquelle il s’est affiché juste après sa victoire, c’est aussi avec celles et ceux qui ne se reconnaissent pas dans son projet ou sa politique que cela doit avoir lieu. Ce vote m’oblige », discours d’Emmanuel Macron au soir de sa réélection, le dimanche 24 avril AFP. Si l’on prend le président au mot, c’est donc dans la contradiction qu’expriment les différences qu’il compte gouverner quand même » avec les oppositions politiques. Si le quinquennat précédent avait parfois montré un gouvernement qui n’était pas celui de tous les Français, mais exclusivement celui des nantis, nous ne serions donc plus désormais cette continuité. Au contraire. Si ce que le nouveau président de la République affirme ici est vrai, alors on est mieux parti qu’en 2017 en termes de pensée complexe ». Non seulement pour des raisons de méthode, mais aussi pour des raisons de fond. Capacité d’écoute Nous vivons dans un monde indéniablement complexe, et qui l’a d’ailleurs toujours été la notion de complexité renvoie, ne serait-ce qu’indirectement, à la vie humaine qui est irréductiblement une vie collective, une vie politique ». Comme disaient les Anciens, nous sommes des animaux politiques ». Un monde complexe est fait d’incertitude – on ne sait pas à l’avance ce qu’il en est de l’avenir, qui peut toujours être fait du pire, mais aussi du meilleur. Et cela dépend beaucoup de nous. Un monde complexe est contradictoire y évoluer harmonieusement demande d’écouter les contradictions sans automatiquement tenter de les réduire. Un monde complexe est fait de plusieurs couches dont certaines sont encore invisibles mais déjà bien réelles, comme une saison qui se prépare sous » la précédente. Et cela ne se signale qu’au travers de signaux faibles que n’importe qui est susceptible de percevoir. Ce ne sont pas les compétences déjà en route, les expertises confirmées qui permettent d’identifier les signaux faibles. Mais une capacité fondamentale d’écoute du monde, de soi-même et des autres. Au soir de réélection, Emmanuel Macron arrive au champ de Mars à Paris en compagnie de son épouse Brigitte Macron et entouré de jeunes. Bertrand Guay/AFP Cependant, la complexité fait peur. Elle dérange par ses contradictions. Elle demande de la patience et de la fraîcheur de regard pour discerner les signaux faibles. Or, pris au jour le jour de nos vies, nous avons un besoin essentiel de simplicité. Sans simplicité, nous ne pourrions pas vivre. Un monde simple serait tout simplement dans l’idéal l’exact contraire d’un monde complexe. Un monde que l’on a sous contrôle, un monde cohérent, immédiatement visible ou transparent. Et où nos compétences sont directement et évidemment applicables. Notre besoin de simplicité est à la fois irréductible, vital, légitime, et fondamentalement vulnérable à son excès qu’est le simplisme. Le simplisme, c’est la présupposition que le monde pourrait n’être que simple. Que l’on pourrait en éradiquer la complexité. Rêver d’éradiquer la complexité du monde passe par des solutions » à la complexité qui veulent faire comme si celle-ci n’existait pas. C’est le côté rassurant de tout leader lorsqu’elle ou il affirme disposer des solutions qui vont nous sortir de la crise. Cela fait évidemment rêver. Mais le rêve devient délétère, voire dangereux, lorsqu’il se complète de l’identification de celles et ceux à cause de qui » le monde est complexe. De l’identification des boucs émissaires de nos attentes et de nos angoisses. Notre besoin de simplicité n’a cependant pas le monopole de la vulnérabilité à basculer dans l’excès. À trop insister sur la complexité du monde, en perdant de vue le besoin de celles et ceux qui souffrent dans un monde dont ils n’ont pas les clefs, l’on peut finir par s’y complaire, et en s’en apercevant ou non. Et l’on perd de vue alors la véritable complexité. La véritable complexité tient au fait que le monde est à la fois fait de complexité, et de notre besoin humain, fondamental, de simplicité. C’est cela la vraie complexité. Et elle requiert une véritable écoute. Les dérives de Jupiter La raison principale pour laquelle, si notre président réélu dit vrai, la politique du quinquennat à venir a de quoi nous faire espérer, est qu’en affirmant accorder toute leur place à celles et ceux qui ne lui ont pourtant pas fait confiance, Emmanuel Macron affirme qu’il va attentivement à la fois écouter le besoin de simplicité qui s’est exprimé lors des élections présidentielles, et mener la politique de changement que requiert la complexité du monde où nous vivons. Lors de son premier mandat, s’étant voulu un président jupitérien », Emmanuel Macron endossait le rôle du chef qui prend en charge la paix et la sécurité de la Cité – celui non seulement qui apporte les solutions aux problèmes complexes du monde, mais qui incarne ces solutions. C’était là de manière problématique, réduire la complexité en s’en voulant l’unique solution. Au contraire maintenant, vouloir l’invention collective d’une méthode refondée » semble significativement plus humble. Humble devant la difficulté objective de tout exercice du pouvoir. Humble devant les crises qui s’imposent les unes après les autres. Humble devant le peu de confiance qu’a alimenté sur bien des points le quinquennat précédent, et qui s’est soldé par les élections présidentielles dont nous sortons. Le président sortant, entamant son nouveau mandat, se dit donc être décidé à écouter ce qui se tient dans l’ombre. À écouter celles et ceux qui ont peur, celles et ceux qui sont en colère, celles et ceux qui souffrent d’un monde en lequel ils ne se reconnaissent pas. Or le président Macron représente tout autant si ce n’est significativement plus le monde de l’économie et de la finance, le monde des nantis indifférents au sort des pauvres. Le monde brillant de celles et ceux qui tiennent les manettes du pouvoir. Jamais soleil ne voit l’ombre », Léonard de Vinci. Wellcome Collection, CC BY-SA Il est significatif que l’on dise, lorsque l’on admire quelqu’un, qu’il ou elle est brillant » ou brillante ». Un tel compliment qui se veut le plus souvent un très grand compliment est en fait fondamentalement ambigu. Car le risque de toute personne brillante » est précisément de manquer d’écoute. De manquer de la capacité à tendre l’oreille aux autres, au monde, voire à soi-même. De ne plus faire que briller ». Et lorsque l’on ne fait plus que briller, c’est là que l’on devient dangereux, car on ne voit plus rien. On ne voit plus les autres, on ne voit plus le monde. On ne voit que ce que l’on projette sur le monde. Car comme le dit Léonard de Vinci, jamais soleil ne voit l’ombre ». Il est à espérer que le dirigeant jupitérien qu’avait voulu être le président sortant fasse effectivement place à un soleil capable d’atténuer sa brillance » pour se mettre comme il dit le souhaiter, à l’écoute de celles et ceux qui sont dans l’ombre. C’est indispensable pour l’avenir de notre pays et de ses habitants. Lorsqu’il était encore ministre de l’Économie et des Finances lors de la présidence de François Hollande, Emmanuel Macron identifiait trois maux bien français la défiance, la complexité à l’époque, celle des administrations, et le corporatisme. Maintenant que les cartes ont été rebattues, faisons avec le nouveau président le pari de la confiance, de la simplification des choses, et de l’ouverture à celles et ceux qui sont différents de nous. Le président de la République ne cesse de dire depuis de redonner de la vigueur à l'organe qui, avec le Sénat, confectionne la loi et contrôle l'exécutif. En clair, appliquer la rêve du Président de la République Bonjour, En une quinzaine de jours, j'ai rêvé 3 fois du Président de la République... En fait, non, je n'ai pas réellement rêver de lui mais disons qu'il en faisait partie... Dans mes rêves, le Président de la Républqie semble être un ami. On se tutoie et je semble être un personnage important pour lui. J'ai le sentiment qu'il a besoin de moi et qu'il me "cire les pompes". Je suis toujours avec lui dans les réunions publiques à tel point que dans mes rêves je me demande si c'est lui ou moi le Président. L'ambiance de ces rêves est étrange... Plein de gens en costumes cravates... Et une image qui m'a marqué c'est le fait que je sois en voiture avec lui assis à l'arrière biensur, à la place d'Honeur et qu'arrivés à ce que je présume être le Palais de l'élysée, il descend, en bras de chemise, pour m'ouvrir la porte afin que je descende du véhicule ... Il y a plein de monde sur le peron du palais... Le sentiment, mon ressenti est assez glauque de cet si j'avais le "devenir" du Président entre mes mains et qu'il le savait...pas évident à expliquer ! C'est beau de rêver ! mais là , je ne comprends pas ! Merci ! Cordialement Pascal45 pascal45 Messages 1Inscription 18 Aoû 2008, 1948 par ben » 19 Aoû 2008, 0739 peut etre ya t il un rapport avec la réalité? Ta relation avec ton patron actuellement? Avec ton père? Tu as l'impression qu'on prends soin de toi uniquement par intérêt...? Des pistes à explorées... ben Messages 31Inscription 14 Aoû 2008, 0957 Témoignage pour film par rêveprésident » 13 Jan 2012, 1605 Bonjour je suis réalisateur et je fais en ce moment une série de petits films pour Arte qui mettent en images des récits de rêves de Français où apparait le président de la République. un exemple ici Accepteriez vous de nous raconter votre rêve? mail president Mathias Thery rêveprésident Messages 1Inscription 13 Jan 2012, 1602 par Crystal Eye » 14 Jan 2012, 2027 Président de la république symbole de pouvoir => Rêver du président ou présidente signifie que vous trouvez soudain trop lourde la charge prestigieuse à laquelle votre ambition vous a mené. Apprenez donc à déléguer, si vous ne voulez pas être écrasé par les responsabilités Ministre Symbole d'autorité Votre orgueil et votre autoritarisme vous enferment dans la solitude. Descendez de votre piédestal ______________________________________________________________ Etre présentée ou confrontée à une grande vedette, en principe inaccessible, laisse entrevoir de belles perspectives sentimentales, des performances commerciales, sportives, intellectuelles. Si ce personnage important vous manifeste un intérêt particulier, inespéré, c'est qu'un cas de conscience va se présenter à vous vous aurez à prendre une décision difficile, voire douloureuse. Devenir soudain une vedette du spectacle, du sport, de la politique, etc.., trahit une peur profonde de s'engager dans une aventure attirante, excitante, mais qui présente des aspects inquiétants. L'aventure peut être de toute nature. >> Carl Crystal Eye reveur d'Or Messages 21422Inscription 09 Aoû 2009, 1236Localisation Arques Re rêve du Président de la République par save-animals » 23 Jan 2014, 1832 Merci Crystal Eye pour ton interprétation, car elle m'aide en partie à interpréter mon rêve. save-animals Messages 101Inscription 06 Mai 2009, 0143 Retourner vers Signification des reves Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistré et 11 invités Lavenir de cette mue dépend en partie du président de la République, de sa Première ministre Élisabeth Borne et du soignant tout-terrain Olivier Véran, ministre en charge des Relations avec le Parlement. À eux de construire ces « majorités d’action » et plus encore de les faire comprendre aux Français, tombés dès l’enfance Cette vidéo était une promesse d’Emmanuel Macron En février, le président de la République a lancé un défi à McFly et Carlito, deux youtubeurs très connus chez les jeunes. Il leur a demandé de réaliser une vidéo pour inciter au respect des gestes barrières. En échange, Emmanuel Macron a promis à McFly et Carlito qu’il participerait à une de leurs vidéos. Les deux youtubeurs ont relevé le défi avec succès… et le Président a dû tenir sa promesse ! Il veut donner l’image d’un président cool Dans la vidéo publiée le 23 mai sur YouTube, Emmanuel Macron s’amuse, rigole, fait des blagues. Il veut montrer qu’il est à l’aise et qu’il ne se prend pas au sérieux. Et il ne parle pas du tout de politique ! En France, avant lui, d’autres présidents de la République avaient participé à des émissions de divertissement. Mais c’est la première fois qu’un Président joue le jeu à ce point. Cette attitude ne plaît pas à tout le monde une partie des Français pense que le rôle de Président est trop important pour qu’il participe à une vidéo humoristique. Il veut toucher les jeunes McFly et Carlito sont très populaires chez les jeunes adultes. Ils ont des millions d’abonnés sur YouTube. En faisant cette vidéo, le Président cherche à s’adresser aux jeunes, et à leur donner une image positive de la politique. Il n’est pas le seul ces derniers mois, plusieurs personnalités politiques se sont mises à utiliser Internet et les réseaux sociaux pour s’adresser aux jeunes. Elles espèrent ainsi les intéresser à la politique… et les inciter à voter pour eux. Émilie Leturcq Leprésident particulier qui apparaît dans votre rêve peut ressembler à quelqu'un qui peut avoir les mêmes qualités dans la vraie vie. Advertisements Le président est la représentation suprême du père. Elle est ultime s'il s'agit du président de la république.Le père préside à la destinée de l'enfant. Cette définition provient du Nouveau dictionnaire des rêves de Tristan Que signifie rêver de président? Ce ne sont pas toujours les bons sentiments pour l'humanité qui vous amènent à faire ce rêve. Parfois, le rêve de président dénote un certain égocentrisme et peu d’empathie pour les autres. Dans ce cas, le rêve parle de s'élever socialement avec le pouvoir, en employant des moyens pas très honnêtes pour réussir. Rêver de rencontrer un président indique que vous allez devoir assumer des responsabilités auxquelles vous n'êtes pas encore préparés. La vision d'un ancien président signifie que vous allez être confronté à certains événements du passé. Ces réapparitions seront bonnes ou mauvaises, en fonction de l'estime que vous avez pour cet ancien chef d'état. Explications particulières d'un rêve de président Rêver d'élire quelqu'un président est l'illustration de votre réussite sociale actuelle ou future. Alors qu'un changement de président annonce une vague de changement dans vos relations personnelles ou professionnelles. Si vous êtes élu président, vous allez grimper les échelons de la société plus rapidement que prévu. Tandis que, le rêve de parler avec un président vous prépare à relever de nouveaux défis difficiles. En revanche, se quereller avec une personne de ce rang indique que vous surestimez vos compétences avec arrogance et vanité. De même, rêver de coucher avec un président de la république prédit que la valeur de votre travail sera dépréciée ou vivement critiquée. Pour finir, un président mort, dans un rêve est de mauvais augure si vous espériez obtenir une promotion ou une augmentation de salaire. Rêves associés à celui de présidentIlfut condamné à mort pour trahison. C'est bizarre que personne n'ait pensé à Louis-Napoléon Bonaparte qui ne s'est fait élire que dans l'unique but de supprimer la République. Quand au mal qu'il a fait à la France, eh bien je crois que ce qu'il a causé en 1870 est assez parlant. sans aucun doute Giscard et Hollande.
Débats L'accélération du temps politique et l'incapacité des nos institutions à y faire face expliquent en partie les difficultés rencontrées par François Hollande. Publié le 09 septembre 2014 à 12h09 - Mis à jour le 09 septembre 2014 à 15h18 Temps de Lecture 3 min. François Hollande essuie une nouvelle rentrée dure, implacable. Les commentaires abondent désormais sur l’affaiblissement de la fonction présidentielle tout en dénonçant l’exercice personnel du pouvoir… La focalisation sur la figure et l’institution démontre à quel point cette obsession masque une difficulté à réfléchir aux raisons de l’affaiblissement du et de la politique. A évoquer la fonction présidentielle, de quoi parle-t-on ? Le chef de l’État veille au respect de la Constitution, arbitre le fonctionnement des pouvoirs publics, et enfin, il est le garant de l’autonomie nationale. Autrement dit, il doit définir les grands équilibres pour les politiques et services publics et le maintien de la souveraineté. En conséquence, en droit et symboliquement, il est au centre du jeu, il en maintient les règles et il doit défendre un projet d’avenir pour la France. Il peut changer de Premier ministre, dissoudre l'Assemblée nationale, organiser un référendum, etc. UNE HIÉRARCHIE DES NORMES IMPERCEPTIBLE A tous ces égards, les outils juridiques demeurent ; mais plusieurs facteurs rendent désormais la mission politique difficilement tenable. Pourquoi ? Fondamentalement, parce que le pouvoir politique n’est plus en mesure de contraindre les intérêts économiques. Cette raison majeure rappelée, des facteurs plus strictement politiques alimentent le désarroi démocratique, tout tropisme présidentiel mis de côté. Premier facteur, l’œuvre du législateur est illisible. L’exécutif dans la mesure où il pilote l’agenda des politiques publiques a tendance à traduire sa nécessaire réactivité administrative en texte législatif ; si bien que la hiérarchie des normes devient imperceptible. Il y a trop de lois, mal écrites, de plus en plus souvent retoquées par le Conseil constitutionnel, révisées sitôt que votées lois pénales et Grenelle sous Nicolas Sarkozy, réforme territoriale, la loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové Alur , sous François Hollande, etc. – le tout qui plus est, sans parvenir à anticiper ou à traduire assez vite la norme européenne en droit interne. LE CHOIX DE LA SURENCHÈRE Second facteur, telle qu’elle est configurée, l’Assemblée nationale, du fait notamment du cumul des mandats qui va certes être restreint en 2017 participe aussi à la perte de qualité de la loi. Le quinquennat a déstabilisé davantage encore qu’auparavant, la légitimité du couple assemblée-gouvernement, le parlementaire n’ayant pour se distinguer de l’exécutif, que le choix de la surenchère – frondeurs, etc. L’assemblée, lorsqu’elle fait parler d’elle, le fait pour des raisons anecdotiques et rarement à son avantage. Avec une abstention croissante, les députés sont mal élus. Le maintien du scrutin majoritaire empêche la représentation de mouvements et de partis satellites suscitant pourtant de plus en plus de mobilisation... Autant que du fait d’une perte d’autorité de la fonction présidentielle, la situation institutionnelle devient intenable, parce que le Parlement ne fait pas la loi à plein temps, que le législateur ne hiérarchise pas son programme et qu’un hiatus existe entre son fonctionnement effectif et ce qu’en perçoit l’opinion. Troisième facteur, l’insécurité juridique grandit et les décideurs y compris publics, manifestent qu’ils n’appliqueront pas les lois, car ils attendent la suivante, voire la prochaine majorité… Une forme de résistance lancinante s’exprime dans des secteurs de la société. MUTATION DES CULTURES POLITIQUES Ainsi, à la fois pour des raisons techniques et politiques, est remarqué un délitement du pacte républicain, de l’ordre qui va avec, et de l’esprit des lois ; or, l’État de droit est bâti sur l’idée que nul n’est censé l’ignorer. La perte d’autorité de la fonction présidentielle s'accompagne d’une dévalorisation de la règle du jeu parfois par les élites elles-mêmes ; le phénomène concerne toutes les institutions qui les produisent ou les contrôlent. Enfin, un quatrième facteur réside dans la mutation des cultures politiques à l’heure de la démocratie instantanée le consumérisme électoral est encouragé par l’effet d’annonce et la demande chronophage des médias continus. Comment la délibération d’assemblée, de parti, etc., peut-elle se frayer un chemin dans ces images-magma, qui marquent l’information » du sceau du sensationnel ? La communication politique paradoxale, fragmentée, trop simplifiée petites phrases et saturée par des connotations privées et mercantiles, ridiculise systématiquement l’autorité de la parole politique. Nous mesurons à force de commentaires assez contradictoires d'ailleurs que le président de la République joue comme un leurre, empêchant de réfléchir et de remédier aux maux démocratiques. Focaliser sur la personne ou la fonction entrave la réflexion de fond sur la perte d’autorité de la norme, de la délibération et de la parole politiques. Olivier Rouquanpolitologue
Etnotre Président de la République, universellement bafoué et humilié, s’entretient plus d’une heure avec ce monsieur au téléphone, gentiment, gaiement, sans Le président Macron veut voir Zidane au PSG. AFP Emmanuel Macron a répondu aux questions de 'RMC Sport' dans le cadre de l'inauguration d'un "dojo solidaire". Il a, entre autre, évoqué une possible arrivée de Zinedine Zidane à la tête du PSG. C'est un secret pour personne le président de la République française Emmanuel Macron est un grand fan de football. Après avoir eu son rôle à jouer dans la prolongation de contrat de Kylian Mbappé avec le PSG, le président s'est également prononcé sur le futur entraîneur du club de la capitale dans un entretien accordé à 'RMC Sport'. Alors que la rumeur d'une arrivée de Zinedine Zidane à la tête du PSG se fait de plus en plus pressante, le président français a fait un appel du pied au club vainqueur du dernier championnat de France "Je n'ai pas parlé à Zinédine Zidane, mais j'ai une immense admiration pour lui, le joueur, l'entraîneur. On a très envie d'avoir, dans le championnat français, un sportif et coach de ce talent qui a su ramener trois grandes coupes que nous convoitons beaucoup pour nos clubs." "Je souhaite pour le rayonnement du championnat français et pour la France qu'il revienne et qu'il vienne entraîner un grand club français, ce serait formidable. C'est mon rôle de dire que la France est une grande nation de sport et de foot, qu'il y a des publics formidables, qui aiment ce sport. C'est important pour nous que les meilleurs qu'on a formés, qui ont parfois rayonné à l'international, puissent revenir", a-t-il ajouté. Monsieur Macron est également revenu sur son influence dans la prolongation de Kylian Mbappé "J'ai pu parler avec Kylian Mbappé, mais il fait son choix en conscience. Il l'a montré, il est très mûr, il construit sa carrière et son engagement avec beaucoup de sens des responsabilités." Enfin, celui qui est l'un des plus célèbres supporteurs de l'Olympique de Marseille a eu quelques mots pour le club phocéen "Vous savez mon soutien, mon amitié... Bravo pour cette saison quand même, on sait les difficultés du championnat qu'on a eu à vivre. Je pense que ça a bien tenu. Je souhaite de tout coeur que le prochain mercato se prépare bien. Qui sait, vous avez parlé de grands entraîneurs, leur coeur est à Marseille aussi... On a le droit de rêver !". Emmanuel Macron aimerait que Zidane succède à Pochettino sur le banc du PSG ! "On a très envie d'avoir un sportif et coach de ce talent qui a su ramener trois grandes coupes que nous convoitons beaucoup pour nos clubs" — BeSoccer BeSoccerFR June 8, 2022 Enfin depuis la révision constitutionnelle du 23 février 2007, en cas de poursuite du président de la République pour "manquement à ses Interprétation des rêves de président Rêver du président symbolise l'autorité, le pouvoir, l'importance, le contrôle. Rêver du président de son pays peut coïncider avec la nécessité de la prise d'une décision importante concernant la vie réelle du rêveur. Les propos que le président tient dans le rêve peuvent alors servir à orienter la décision. Si vous rêvez du président d'un autre pays que le vôtre, cela peut signifier que la décision dont il est question ne vous concerne pas directement, ou bien que ce n'est pas à vous de la prendre, votre rôle sera alors uniquement de conseiller la personne qui est devant un choix important. Rêver de se présenter à la présidentielle symbolise l'envie de prendre les choses en main, s'accaparer du pouvoir pour passer aux commandes de sa propre vie, ou éventuellement aussi celle des autres. Rêver de devenir président symbolise le goût du pouvoir et l'accomplissement de grandes ambitions. Ce rêve peut aussi indiquer la nécessité de vous fixer des objectifs ambitieux et de donner le meilleur de vous-même. Autre interprétation des rêves de président Rêver d'un changement de président peut suggérer qu'il y a du changement dans vos relations personnelles ou professionnelles, concernant la prise de décisions. Quelqu'un d'autre passe aux commandes et l’ancien décisionnaire est écarté du pouvoir. Rêver d'être le président sortant signifie que la personne écarté du pouvoir c'est vous. Rêver d'un ancien président signifie que d'anciens choix et décisions ainsi que leurs conséquences redeviennent d'actualité pour vous et se font ressentir dans votre présent. L'attitude de l’ancien président dans votre rêve indique si vous êtes satisfait ou non des choix faits dans le passé. Keplly.